VENDREDI 13, écriture et mise en scène de Jean-Louis Bauer, Cie La Reine Blanche. Création 2018, théâtre de la Reine Blanche – Paris (75).

Credit illustration : Atelierpapier.fr – Credit Photo : Pascal Gely

  1. Ambiance extérieure cimetière Maxime DENIS 9:13
  2. Cloches cimetière lointaines Maxime DENIS 0:30
  3. Message téléphonique Maxime DENIS 0:26
  4. Transformation musique Louis Prima Maxime DENIS 1:48
  5. Mon langage Maxime DENIS – composition 2:54

Un an après le 13 novembre 2015, un groupe d’amis éloignés par ces événements se retrouve autour de la mémoire de Léïla, soeur, compagne et amie disparue. Pour ces jeunes gens, c’est le moment de s’affronter et de laisser voir leurs blessures et leur espoirs. La tristesse laisse alors place à une inattendue insouciance. À travers leur histoire s’esquisse le portrait d’une société qui veut recréer du commun.

Avec les soutiens de France Culture et de la LICRA (ligue international contre le racisme et l’antisémitisme).

Texte et mise en scène de Jean-Louis Bauer. Distribution : Amina Boudjemline, Margot Van Hove, Loïc Lemanac’h et Mayel Elhajaoui. Scénographie et construction : Felix Baratin et Caroline Long Nguyên, Création lumière : Paul Hourlier, création sonore : Maxime Denis. Production : La Reine Blanche, SIC et Kif and Co.

Teaser : https://www.youtube.com/watch?v=cmeUETQymdw


La Presse :

«  Enchâssant avec audace naturalisme et poésie, cette pièce cathartique s’empare avec tact du réel survenu en 2015 à Paris. Jean-Louis Bauer signe une pièce touchante et concise, assez élégante pour aviver la réflexion sans attiser l’angoisse, défendue par quatre beaux comédiens, jeunes et décidés. » JDD, 11 février 2018

« Au-delà des clichés, au point que l’on ne sait plus quand rire ou pleurer. L’illumination de la fin, portée par le fantôme, arrive après la réconciliation des vivants, sève de cette pièce qui ose ne pas céder à la simplicité ni se détourner de la douleur.  » Time Out, 30 janvier 2018

« cette pièce, [J.L. Bauer] a voulu inventer un ‘dispositif théâtral’ qui permette de rendre compte de ce chapitre de l’histoire de France […] en donnant à voir la tristesse des endeuillés, leur perte de repères, leurs questionnements. (…) Voir de près la douleur d’autres plaquée sur un sujet devenu si collectif est quelque part assez obscène. Mais c’est une obscénité vertueuse, puisqu’elle nous commande de savoir nous mettre à la place des inconnus que l’on croise tous les jours. » Mashable, France 24, 26 janvier 2018

« Il y a là une simplicité de conte et les sensibilités touchantes de quatre jeunes interprètes bien accordés. » Figaroscope

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